An eye ever browsing, visions of Jesse Fernandez

Guillermo Cabrera Infante

I first met Jesse Fernandez when he was full of life and browsed with just one eye: his camera lens. We were both in the silly circus ring celebrating the first round of Around the World in Eighty Days in Manhattan, that other island. (…)

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19th-Century Sicily in Black and White

Vicky Elliott

Francesco Balsamo, who presided over the completion of Palermo’s cathedral, died in 1871. But he stands today in the Capuchin cemetery of that city, in his priestly robes and cardinal’s hat – his mouth agape in a soundless scream. With him are 8.000 of his fellow citizens, decked in their 19th-century Sunday best. (…)

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Les gangues humaines de Jesse Fernández

Philippe Lançon

En 1959, à La Havane, une révolution fait bander les vivants et les morts. Un photographe cubain de 34 ans, Jesse A. Fernández, attrape en lumière naturelle la gueule éclatante des acteurs et des figurants : héros, écrivains, artistes, gens de la rue. Il les attrape sur fond fréquemment nu ou peu encombré. (…)

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New York : la rue est un studio

Jesse A. Fernández

Je cherche le côté humain, pris sans aucun éclairage masquant la lumière naturelle. Je compose toujours avec l’univers intime de la personne. Je recherche la relation entre le sujet et son cadre de vie. A d’autres occasions j’utilise les rues et les murs, que je considère comme le meilleur studio. (…)

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Les murs

Philippe Lançon

Toute sa vie, de Bogota à New York, de Palerme à Londres et de La Havane à Paris, Jesse A. Fernandez a photographié des héros naturels devant des murs, mais aussi, simplement, des murs. Simplement ? Oui et non. (…)

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Écoutez les morts avec les yeux*

Ludovic Py

On ne peut réduire en quelques pages l’intense activité de Jesse Fernández durant les dix dernières années de sa vie à Paris, années qui furent aussi celles de notre amitié. Je laisse à d’autres le soin d’analyser les talents du peintre, la grandeur et la diversité de son œuvre. Il m’appartient en revanche de rappeler (…)

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L’opéra funèbre de Jesse A. Fernandez

Michel Nurisdany

Le cimetière souterrain des capucins abritant à Palerme 8.000 momies est l’un des lieux les plus étonnants d’Italie. Devant pareil sujet le photographe Jesse A. Fernandez aurait pu se laisser aller à nous montrer de manière anecdotique d’insolites images de macabres incongruités, des clichés superficiels et brillants. (…)

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Retratos

Jesse A. Fernández

Las fotografías reunidas en este volumen de retratos culminan veintisiete años de trabajo. Recopilé retratos de artistas y escritores de Latinoamérica y España con los cuales tuve y tengo trato cordial y fraterno. Debo aclarar, sin embargo, que estos retratos no fueron concebidos para un libro, sino todo lo contrario: (…)

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No más fotos de Jesse

Guillermo Cabrera Infante

Conocí a Jesse Fernández (…) cuando estaba bien vivo. Fue en la barahúnda para celebrar la Vuelta al mundo en 80 días, año primero, en Nueva York, en 1957. Allí me lo presentó Humberto Arenal, escritor cubano que, como Jesse, vivía en Manhattan, la otra isla. (…)

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Jesse Fernández

José Ayllón

En el arte contemporáneo abundan los ejemplos de artistas que han conseguido una obra interesante partiendo de las obsesiones que los frecuentan. Sin embargo, es raro encontrarse con artistas que se limiten casi exclusivamente a una sola imagen. Este es el caso de Jesse Fernández, (…)

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